Chimère customisée III

Si tu n'as pas suivi les trépidants précédents épisodes de cette épique saga, sache que le premier est ici, et le second là.

Avant de passer aux choses sérieuses, il est plus que temps de terminer le set d'accessoires optionnels du véhicule :

Les ajouts se résument à l'antenne de commandement, aux deux armes de coque, et à la lame de bulldozer... je ne compte pas utiliser les autres options, du moins pas pour le moment. Je vais quand même aménager un emplacement aimanté sur la tourelle, au cas où je change d'avis...

La suite de programme consiste à matérialiser l'intérieur de la chimère : les portes étant mobiles, il eut été du plus mauvais effet de ne pas avoir d'habitacle.

L'espace existant n'est pas vraiment adapté à ce que je veux en faire, un habillage est donc nécessaire (avec l'aimable participation d'une fameuse marque de céréales).

Et hop, y'a plus qu'à agrémenter tout ça.

Question suivante : qu'est-ce que je met dedans ? Ayant à l'esprit l'image des transports de troupes militaires des bons vieux films de guerre américains, je choisis d'installer des banquettes, pour que mes braves soldats puissent attendre confortablement le moment où il faudra sortir (moment difficile pour le garde impérial moyen, est-il besoin de le rappeler ?).

Pour ce faire, cette magnifique pièce qui-ne-m'a-pas-servi, une fois coupée dans le sens de la longueur, me fournira l'assise des deux banquettes.

Un peu de chaîne de joaillier pour le style...

... et tadaaam. On pourrait presque y faire un apéro. Notez au passage l'ajout de carré de carton au sol, censés figurer les blocs modulaires utilisés (j'imagine) dans la construction de l'engin.

Quelques bouts de plastiques plus tard. Les accessoires proviennent de la grappe de tank impérial, plus quelques éléments de la grappe de flagellants pour l'Empire de WFB.

Reste à améliorer le plafond, et on pourra passer à la peinture.

One more squad

Et une fournée de piétons supplémentaires... ceux-ci ont bénéficié d'attentions particulières, et pourront à l'occasion être utilisés en tant que vétérans. Je compte les utiliser en escouade motorisée la plupart du temps.

Je ne reviens pas sur l'équipe de bolter lourd, déjà traitée dans un autre billet. L'escouade a eu droit aux dernières évolutions de mon schéma de peinture originel (ce qui explique - partiellement - le temps nécessaire pour la finir), à savoir : éraflures, effets de lumières, et surplus de lavis au détriment du brossage à sec.

J'ai également souhaité que cette escouade ait un aspect plus expérimenté que les autres. Pour représenter ceci, plusieurs petits détails viennent la différencier sensiblement du reste des troupes, sans toutefois la faire sortir du lot outre-mesure (il ne s'agit pas d'en faire des space marines, juste des gars avec un peu de bouteille). Certains soldats ont ainsi droit à des tatouages, d'autres sont mal rasés (n'allez pas y voir une quelconque signification cachée), et d'une manière plus générale, leur équipement est plus complet et spécifique, à l'instar du sergent, qui a reçu un auspex bio-scanner.

Les tatoués.

Les barbus. Toi aussi joue avec ce blog et trouve quel barbu est également un tatoué.

Le reste de l'équipe.

Et qui dit escouade motorisée dit... ? Chimère, évidemment... to be continued.

Artilleur Catachan, le retour

Après quasiment 6 mois sous assistance respiratoire, il est temps pour ce blog de reprendre du service (je n'ose pour le moment ajouter "avec régularité"). Pour ce faire, une figurine peinte il y a déjà un moment, et qui met en couleur une vieille conversion d'artilleur Catachan déjà présentée sur ce blog. Pour l'occasion, j'ai utilisé divers éléments pour agrémenter le socle :

L'idée du socle (et à moyen terme du reste de l'armée) et de mettre en scène un affrontement sur un champ de bataille ancien, parsemé de restes croulants d'escarmouches passées. J'ai donc voulu mettre en scène une vieille bombe impériale partiellement prise dans les racines d'un arbre, lui-même à l'état de souche. La bombe en question provient de restes d'une maquette de bombardier allemand, les morceaux de chenilles étant des restes du kit de chimère impériale. Les racines de la souche sont en fil d'étain épais.

 La structure de l'arbre est ensuite "habillée" à la greenstuff ; afin de coller un peu plus au thème des gardes des jungles, je me suis inspiré des racines à contrefort de certains arbres tropicaux.

Le résultat mis en couleur. Les deux gardes ont été positionné de manière à donner l'impression qu'ils profitent activement du couvert offert par la bombe / souche. En terme de peinture, j'ai décidé de rehausser subtilement les standards de l'armée, en incluant des effets de lumières et d'écaillage de la peinture sur les armes, notamment. J'en suis assez satisfait, même si cela signifie une perte de vitesse supplémentaire... au point où j'en suis, la différence sera de toutes manières assez imperceptible.

Prochaine étape (si tout va bien) : le reste de l'escouade censée accompagner ces deux braves types, avant de repasser sur un chantier maintenant antédiluvien, à savoir ma bonne vieille chimère.